Une ombre noir... approche

Libérée, la jeune fille se demanda si elle ne devait pas en profiter pour fuir. A vrai dire c'est ce que tous le monde ferais à sa place. Mais, elle ne fit rien, juste accepter la dague du jeune prince. Elle regardait l'arme avec lassitude mais s'en contenta. Elle regarda de terrain. Le territoire semblais désert envaillée par le crépuscule. Soudain un spectre se rua vers eux. Elle esquiva et se redressa prète à attaquer mais à la place du spectre une lumière bleu les envahits. Elle fut ci forte que la jeune fille recula d'un pas avant de courir vers Aïlin.

Quand elle s'apperçue... que la lumière bleu était en réalitée le mage d'on on lui a ci souvent parler...

Elle se pencha vers le jeune prince qui fixait le grand Orpheee. Elle mis ses mains sur ses épaules et se mit devant lui. Elle fronça les sourcils, le mage était donc vivant ?

Orpheee entendit les pensées de la jeune inconnue aux cheveux rouges sang. Elles étaient fraîches et limpides, comme de l'eau de source, comme si la demoiselle avait rassemblée en elle toute l'innocence du monde.

-Mademoiselle, la vie m'a quitté voici quelques temps déjà. Mais, privilège, j'ai conservé mon corps, ce qui m'offre la possibilité d'aller et venir comme je le souhaite (et comme le souhaite ma souveraine) entre ces deux mondes.

Nephenie sursauta. Elle n'avait pas parlé à haute voix...
Mais déjà, Aïlin prenait la parole :

-Seigneur Orpheee... Mon Empereur !

-Allons, Aïlin, jeune prince, tu sais fort bien que j'ai cessé de commander les elfes voici 750 ans ! Ne me donne pas à tort ce titre de souverain qui revient à ta mère, cette chère Dame Ciriel, répliqua le mage. Mais au fait, expliquez moi donc les raisons qui poussent deux jeunes gens comme vous à se trouver près d'une cité fraîchement dévastée ?

Nephenie ne répondit pas. C'est donc lui dont Nephenie avant tant peur pendant des années ?, se demanda t'elle. La jeune fille se mordit les lèvres et se senta embarraser. Ce grand mage, elle l'admirait tant, et dont les troubadours, avait raconter les exlois héroiques. Elle se retourna vers Aïlin quand celui ci l'acclamait. La jeune fille ne sachant quoi fait ni réponde au question de Orpheee se contenta de ne rien dire pour l'instant ni de rien penser. Car l'heure de la vérité n'avait pas encore sonnée. Elle ne devait pas tout dire sur elle... ce n'étais ni le moments... ni l'occasion. Le silence... serais pour l'instant son comagnon.

Quand Orpheee lui transmit les singulière paroles que Gribouille lui avait confiés: "dit lui d'avoir confiance en elle et en sa volonté, quoi qu'il arrive" elle ne comprit pas trop. Qui était cette naine d'abord? Serait- ce celle dont parle les livres, qui cotoya Orpheee, Marlab et Gurvillon? Orpheee ayant accès momentanément a ses pensée la renseigna. Gribouille, la naine, celle de jadis. Ayant gagné le royaume des morts, mais refaisant surface... Occasionnelement. Mais, quand à la raison de ces propos... Il faudrait lui demander à elle directement.

Puis, Orpheee se tourna vers Aïlin.

-Jeune ami, j'ai une offre à te faire, qui intéressera aussi ta camarde, j'en suis sûr.
Nous en parlerons en Allysan, ne restons pas là.

Orpheee avait senti à distance un être d'une noirceur effroyable. A ses côtés, une autre présence aussi sombre, quoique largement plus petite. Il usait de tout son pouvoir afin de cacher leur présence, mais il devenait malsain de rester en ses lieux.

La jeune fille recula mais prit Aïlin par la manche et murmura:

"Aï... il faut partir."

Elle avança ensuite lentement vers le cheval Foudre et monta avec agilitée d'un écureuil. Le regars ailleurs, elle ne pensait à rien. A vrai dire, elle était assée fatiguée mais elle ne le montra pas. Il fallais faire vitte et partir, même si il y avait le mage, cela n'arrangerais rien.
Elle regarda Aïlin, son esprie ailleur, elle se demandais cômment allais se finir cette histoire. Et la sienne par la même occasion....

Tandis que les trois compagnons, chevauchaient a toute vitesse pour regagner la quiétude d'Allysan, Gribouille restait en retrait pour surveiller les arrivants.
Mais ceux ci, voyant leur objectif hors de portée, se contentèrent de faire demi tour et de retourner dans leur campement.
Gribouille aurait bien aimé aller fureter la bas, mais il était temps d'aller faire son rapport à Marlab, puis, de passer voir Monsieur le Président comme prévu.
Ce coup ci, Gribouille émit un drôle de son, et peu après un bélier majestueux, aux cornes dorés vient se présenter. Le chevauchant, Gribouille s'en alla aussi vers Allysan.

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